Depuis, nous créons des sites SPIP qui ne ressemblent pas à des sites SPIP, nous développons des applications tactiles en technologies Web qui ne ressemblent pas à des sites Web et nous inventons des outils pour faire du Web qui ne ressemble pas à du Web…
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Nos solutions
Des développements sur mesure
Que ce soit en back-end ou en front-end, nous faisons vivre toutes sortes de contenus : bandes dessinées animées, réseau social, traitements d’images…
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SPIP et technologies Web multisupport
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Formes longues
Les formes longues (ou longforms) sont une construction de site dans laquelle on regroupe toutes les informations sur une même page là où, sur un site traditionnel, elles auraient été publiées sur plusieurs pages.
Nous avons innové en intégrant ce format à nos sites SPIP, en développant différents outils : la présentation de différentes maquettes responsive (1, 2, 3 colonnes de différentes dimensions) sur une même page, l’intégration de grandes images se fondant sous le texte à la façon des magazines imprimés, et une collection d’outils graphiques permettant de rythmer l’apparition des images.
Présentation type « Magazine » : interview de Faia Younan
Le but premier de la forme longue sur le Web est d’approcher la logique du magazine papier, dans laquelle les images et le texte se complètent dans une forme élaborée et élégante. Voici un exemple d’article long dans lequel les images rythment la page et donnent envie de lire…
Musée Fabre de Montpellier
Nous avons réalisé plusieurs formes longues pour la plateforme « Fabre dans mon canapé » : l’histoire des collections italiennes, l’exposition Arts et anatomie, le parcours Soulages à Montpellier… des univers graphiques à la fois différents et cohérents pour des récits au long court.
Forme longue pour l’Ihédate
Les formes longues ne sont pas réservées aux magazines. C’est un type d’interface qui permet de dynamiser les présentations institutionnelles, en structurant les informations de manière à la fois claire et dynamique.
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Panoramiques interactifs à 360°
Nous réalisons des interfaces de médiation culturelle basées sur des images panoramiques à 360°. L’usage le plus fréquent est l’installation in situ : dans une salle de musée, on installe une table tactile sur laquelle un tel panoramique, représentant la salle elle-même, est visible, ce qui en rend la manipulation évidente pour les usagers.
Dans les panoramiques, on intègre des « hotspots », c’est-à-dire des endroits à toucher, qui provoquent l’affichage de cartels détailés (textes explicatifs, images grand format…).
Ces grands panoramiques interactifs sont entièrement réalisés en technologies Web, et peuvent donc être utilisés sur un site internet, intégrées dans une grande table tactile, ou encore livrée sous forme d’application pour smartphone et tablette.
À nouveau, ces grandes animations panoramiques sont directement gérées dans SPIP. La gestion des points tactiles (« hotspots ») et des cartels explicatifs se fait donc directement dans une interface Web facile à utiliser.
Musée Fabre de Montpellier
Pour le Musée Fabre de Montpellier, les vues panoramiques à 360° permettent de visiter des salles du musée, ou l’intégralité d’une exposition.
Nous proposons ainsi une visite complète de l’exposition Jean Ranc, complétée de cartels numériques et d’enregistrements d’audioguides.
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CMS Comics
Conçu sous forme de plugin SPIP, l’outil est volontairement simple à utiliser, de façon à laisser le maximum d’autonomie au dessinateur qui conçoit l’animation. On peut de cette façon créer des animations ponctuelles illustrant un article, ou réaliser une bande dessinée animée complète.
Le plugin CMS Comics ajoute un élément de « Scène animée » aux articles de SPIP. Chaque scène est définie par ses dimensions (hauteur et largeur) et sa durée.
Une fois la scène créée, on installe par glisser-déposer plusieurs images (« couches ») d’images constituant une « scène », et pour chaque couche on définit des éléments de positions (gauche, haut…), d’échelle, d’opacité et de flou, pour le départ et la fin de l’animation. Chaque « couche » peut démarrer avec un délai.
Les animations étant entièrement en technologies Web, elles sont parfaitement adaptées à la diffusion en ligne (les images sont d’ailleurs responsives), et peuvent évidemment être utilisées dans des « web apps » sur smartphones et tablettes ou intégrées à des interfaces sur tables tactiles.
Un point central ici est de rester dans l’économie humaine de la bande dessinée, avec un nombre limité d’intervenants : un scénariste, un dessinateur et une personne pour aider à la mise en ligne. L’idée ici est d’éviter de basculer dans la logique de la production multimédia/audiovisuelle, mais de réduire les intermédiaires entre les créateurs et la diffusion, et ainsi conserver la force du roman graphique.
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Interactions et contenus générés par les usagers
Nous développons toutes sortes d’interactions avec les utilisatrices et utilisateurs, que ce soit sur le Web, dans des applications ou sur des dispositifs tactiles installés lors d’événements.
Créer du contenu
Le principe a été réutilisé l’année suivante pour l’exposition Émoi et moi du MACVAL.
À ce jour, plus de 720.000 messages y ont été postés.
Signaler un événement
La fête du Court métrage repose sur un principe plus complexe : les organisateurs d’événements sont invités, en amont de la Fête, à s’inscrire pour documenter et géo localiser les projections. L’outil permet leur permet de créer une sélection personnalisée de films, avec pour chaque film une fiche de présentation complète et la possibilité de choisir un support de diffusion.
Gérer ses informations personnelles
Nous avons développé pour la Fémis un outil complet de gestion des anciens étudiants. Chaque étudiant·e peut y renseigner toutes les films auxquels il/elle a contribué depuis sa sortie de l’école.
Pour le même site, nous avons réalisé des formulaires d’inscription très complexes. L’inscription se termine, dans certains cas, par un paiement sécurisé validant tout le processus.
Pour le site de l’Ihédate, chaque ancien auditeur/auditrice peut renseigner et mettre à jour sa propre fiche personnelle. Pour chaque élément d’information (adresse, téléphone, personnel, professionnel), l’usager a la possibilité d’indiquer si ces éléments doivent rester à usage unique de l’administration de l’Ihédate, ou s’il/elle souhaite les partager avec les autres anciens auditeurs.
Jouer !
Pour l’exposition Francis Bacon au Grimaldi Forum de Monaco, nous avons développé un outil de « cabine photographique » dotée de filtres graphiques très variés, utilisé dans le cadre de l’expérience « 7 Reece Mews ». Les usagers étaient invités à se prendre en photo dans une fausse cabine équipée d’un iPad, appliquer un filtre à leur portrait, puis à expédier le résultat à leur adresse email et/ou sur une table tactile complétant l’expérience sur place.
L’application « La Petite renarde rusée » pour iOS et Android, entièrement réalisée en technologies Web, permet d’écouter chacun des 13 instruments d’un orchestre, ensemble ou séparément. Destiné avant tout aux enfants lors de stages de musique, l’outil est facile et amusant à utiliser (et quelque peu envoutant à l’usage…).
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Cartographie et géolocalisation
Nous créons de nombreuses façons d’intégrer de l’information sur des cartes.
Dès 2007 nous avons développé des interfaces entre SPIP et Google Maps, y compris pour la géolocalisation automatique des adresses, et nous avons réalisé de nombreux sites avec cet outil.
Nous proposons également des développements plus adaptés à de grandes tables interactives, sur la base de cartographies interactives dessinées pour l’occasion. Ou encore de éléments d’interface simples mais efficaces pour naviguer sur un site Web.
Pour le Muséum de Toulouse, nous avons conçu une interface de consultation de cartes interactives de la Guyane. L’ensemble est géré sous SPIP grâce à des plugins développés pour l’occasion, ce qui facilite les validations avec les équipes scientifiques de l’exposition, ainsi que les mises à jour.
La représentation cartographique peut aussi prendre des formes plus simples. Dans l’annuaire des auditeurs de l’Ihédate, il s’agit d’une carte cliquable des régions, où apparait le nombre d’auditeurs, mis à jour à partir de la base de données.
Photo Muséum de Toulouse / Christian Nitard